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Idex facilite l’accès aux énergies locales et décarbonées

Monday 13 February 2023

Idex aide ses clients à se mettre en conformité avec les différentes réglementations en faveur des énergies renouvelables et de la mobilité durable.


 

La division Bâtiments Bas Carbone d’Idex a pour mission de faciliter pour les entreprises l’accès à une énergie locale et décarbonée, en bâtissant chez elles l’énergie de demain et déploie des infrastructures de recharge électrique chez ses clients. Elle accompagne les entreprises en adoptant une solution 100 % écologique de parking branché : les bornes de recharge sont branchées à une installation de panneaux solaires en ombrières de parking, ce qui permet de puiser directement l’énergie nécessaire au fonctionnement des bornes. Usines, hôpitaux, supermarchés ou encore sièges et bâtiments d’entreprises... tous les parkings d’entreprises sont concernés. « Brancher votre parking d’entreprise, c’est offrir une station-service tous les jours à vos collaborateurs », rappelle Edouard Roblot, directeur Bâtiment bas carbone d’Idex. À l’heure où le carburant est cher, utiliser une énergie gratuite et non polluante (le soleil) pour recharger des véhicules prend de plus en plus de sens. Et grâce aux offres tout-en-un d’Idex, cela se fait sans aucun investissement pour l’entreprise où nous intervenons.

Des lois contraignantes

Cerise sur le gâteau, les offres d’Idex permettent également de se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation. Le 10 janvier 2023, l’Assemblée nationale a voté l’obligation d’installer des panneaux solaires sur les parkings de plus de 1500 m2. Cette loi se couple naturellement à la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM), qui prévoit d’équiper entre 5 % et 20 % des places de parking d’entreprise en bornes de recharge pour véhicules électriques d’ici le 1er janvier 2025.

Des besoins gérables pour la mobilité électrique en 2030

Face au développement des véhicules électriques et à la crise énergétique, se pose pour tous la question de savoir si nous disposons de suffisamment d'électricité pour alimenter ces véhicules. Il faut relativiser la consommation d’énergie d’un véhicule électrique, qui est bien plus efficace qu’un véhicule thermique. Conséquence, lorsqu’on projette la demande d’électricité jusqu’en 2030, on estime qu’à cet horizon, la mobilité électrique représentera à peine 10 % de la demande d’électricité, avec une hypothèse ambitieuse de 20 % de véhicules électriques dans le parc. Cela veut dire qu’entre 2023 et 2030, le véhicule électrique représentera une croissance annuelle de 1 % de la consommation d'électricité nationale. C’est tout à fait gérable à l’échelle du système électrique français, à condition que la recharge s’effectue en dehors des périodes d’ultra-pointe pour ne pas déséquilibrer le réseau.

Des solutions concrètes

Des solutions existent pour charger les véhicules électriques sans solliciter démesurément le réseau. La recharge d’un véhicule peut déjà être décalée automatiquement ou modulée en fonction de la capacité du réseau. D'après l’Avere France, plus de 90 % des usagers de véhicules électriques et hybrides se rechargent à leur domicile ou sur leur lieu de travail. Il s’agit donc de charges lentes, ayant peu d’impact sur le réseau et pouvant facilement être modulées. Un chiffre d’autant plus cohérent qu’une voiture reste stationnée 90 % du temps. Et avec la recharge stationnaire, il est facile de recharger un véhicule électrique au moment où l’électricité est abondante et renouvelable. Enfin, il y a la solution « parking branché » d’Idex, pour privilégier une alimentation locale et renouvelable dès qu’il y a du soleil : des bornes de recharges couplées à une centrale solaire. 

 
 
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